coup de coeur·livres en anglais·Non classé

The woman in White – Wilkie Collins

Niveau: Intermédiaire

Editeur: Alma Books

4ème de couverture en V.O.:

In love with the beautiful heiress Laura Fairlie, the impoverished art teacher Walter Hartright finds his romantic desires thwarted by her previous engagement to Sir Percival Glyde. But all is not as it seems with Sir Percival, as becomes clear when he arrives with his eccentric friend Count Fosco. The mystery and intrigue are further deepened by the ghostly appearances of a woman in white, apparently harbouring a secret that concerns Sir Percival’s past.

A tale of love, madness, deceit and redemption, boasting sublime Gothic settings and pulse-quickening suspense, The woman in white was the first best-selling Victorian sensation novel, sparking off a huge trend in the fiction of the time with its compulsive, fascinating narrative.

4ème de couverture en VF (éditions du masque):

Dans la fournaise de l été, en ce milieu du XIXe siècle, William Hartright, jeune professeur de dessin émérite, s’apprête à quitter Londres pour enseigner l’aquarelle à deux jeunes filles de l’aristocratie, dans le Cumberland.
Il laisse derrière lui la vie trépidante de la ville et ses étranges incidents, comme cette rencontre en pleine nuit avec une jeune femme terrorisée, toute de blanc vêtue, semblant fuir un invisible danger…
Mais la campagne anglaise, malgré ses charmes bucoliques, n’apaise pas le jeune William autant qu il le souhaiterait. La demeure de Limmeridge recèle en effet de bien lourds secrets, et lorsque resurgit la mystérieuse dame en blanc, il est bien difficile d’affirmer qu’il ne s’agit pas d un présage funeste…

the woman in white

Comme diraient les québecois, je suis tombée en amour devant la couverture de ce livre. Je devrais plutôt dire devant toutes les couvertures des livres de la collection Alma Classics. L’éditeur a fait un vrai travail sur le graphisme du livre et même si ça compte peu quand on lit un livre, je dois bien avouer que ça peut guider mon choix lors d’un achat.

Passons les histoires de couvertures et revenons-en à l’histoire en elle-même.
Même si le début du livre nous fait penser à un roman d’amour avec une histoire d’amour contrariée (le personnage principal tombe amoureux de Laura Fairlie a qui il enseigne l’art de la peinture mais celle-ci a été fiancée par son père à Sir Percival) on en vient vite à passer au roman de type policier ou au thriller. Et on se trouve alors face à toute une série de questions qui se posent: Qui est cette femme en blanc que l’on rencontre à un moment du récit et qui est poursuivie? Quel lien a-t-elle avec Sir Percival? Quel secret Sir Percival cache-t-il?

Un roman passionnant de bout en bout. Malgré la taille du livre, 591 pages, et le fait que le récit était en V.O., je n’ai pas ressenti le moins du monde de longueurs, et même si j’ai dû m’accrocher un peu pour le vocabulaire en débutant le livre, je me suis vite sentie à l’aise avec la lecture en anglais pour ce roman.

Ce qui est sur, c’est que je n’hésiterai pas la prochaine fois que je vois un livre de Wilkie Collins à la librairie, cet auteur a su me réconcilier avec les polars.