coup de coeur

Grisha – Leigh Bardugo

Editeur: Milan

4ème de couverture:

OMBRE. GUERRE. CHAOS.

Un royaume envahi par les ténèbres.
Une élite magique qui se bat sans relâche contre ce mal.
Des citoyens envoyés en pâture aux créatures qui peuplent le Shadow Fols.
Parmi eux : Alina Starkov.

ESPOIR. DESTINÉE. RENOUVEAU.

L’avenir de tous repose sur les épaules d’une orpheline qui ignore tout de son pouvoir.
L’invocatrice de la lumière

Je n’aurais pas mis longtemps avant de dévorer ces 3 livres de Leigh Bardugo. Ma lecture de Six of crows m’avait tellement plu, que je ne pouvais pas passer à côté des 3 tomes de Grisha.

Nous ne sommes pas ici dans une suite de Six of crows, mais nous restons dans le même monde imaginaire inventé par l’autrice. Dans la duologie Six of crows, nous avons déjà eu l’occasion de faire connaissance des Grisha et du territoire Ravkan, mais par petite bribe puisque l’action principale se déroulait à Ketterdam.
Nous quittons donc le territoire de Ketterdam et ses canaux; pour le territoire Ravkan miné par la guerre depuis des années et faisons plus connaissance avec les Grishas personnages dotés de pouvoirs « magiques » .

L’autrice a développé un univers incroyablement bien développé, avec ses mythes et son histoire. L’histoire fourmille de détails, qui nous permettent de plonger à pied joint dans son histoire.

Je ne peux que conseiller cette lecture, et puis qui ne craquerait pas pour ces magnifiques couvertures (celle du troisième tome est particulièrement sublime)…

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La trilogie du Tearling – Erika Johansen

Editeur: le livre de poche

4ème de couverture du tome 1:

Après la mort de sa mère la Reine Elyssa, Kelsea Raleigh a grandi en exil, loin des intrigues du Donjon Royal où son oncle a pris le pouvoir.Le jour de ses dix-neuf ans, une garde l’escorte de son repaire à la capitale, où elle doit reconquérir la place qui lui revient de droit.
Kelsea ne s’est jamais sentie aussi peu capable de gouverner. Pourtant, les atrocités qu’elle découvre vont la pousser à commettre un acte d’une incroyable audace, qui jette tout le pays dans la tourmente.
Long périple semé d’embûches, plein de bruit et de fureur, de trahisons et de combats… Pour Kelsea, l’épreuve ne fait que commencer.

Cette trilogie est un petit bijou de fantasy. Pas étonnant de lire les commentaires élogieux d’Emma Watson, connaissant ses goûts pour les livres féministes.

Nous sommes plongés dans un royaume miné par la corruption, manipulé par le royaume voisin. Kelsea, la fille de la précédente Reine du Tearling a été élevée à la campagne par des personnes fidèles à la reine, cachée de tous. Le jour de ses 19 ans, elle doit rejoindre la capitale afin de monter sur le trône qui est le sien. Mais tous ne l’entendent pas de cette oreille, ni son oncle le roi « régent » qui ne tient pas à perdre ses privilèges, ni la Reine du royaume voisin.

C’est un livre qui donne a réfléchir, sur les décisions que l’on prend, sur les choix que l’on fait. Ici tout n’est pas blanc ou noir, mais très souvent gris. En cherchant à faire quelque chose de juste, ne risque-t-on pas d’empirer la situation? Kelsea aura souvent l’occasion de se poser cette question pendant les 3 tomes que dure cette histoire.
Les questionnements sur les liens de filiations (est-ce nos parents qui nous définissent?), le poids que les erreurs des parents font peser sur les épaules de leur enfants sont très bien évoqués.

Ici on a l’occasion de suivre un personnage doté de caractère mais qui a aussi ses défauts, ce qui en fait somme toute un personnage très humain auquel on peut s’identifier.
La psychologie de tous les personnages est très bien travaillée, ce sont des personnages complexes, aux multiples facettes, ce qui va engendrer de nombreux rebondissements.

Je dois avouer qu’au début de la lecture j’ai un peu été perturbée par les références historiques disséminées ici et là dans le récit, qui me semblaient totalement anachroniques, mais tout s’éclaire plus on avance dans le récit et c’est ce qui donne du piment à l’histoire.

Cette trilogie devrait bientôt adapté au cinéma avec Emma Watson. Hâte de voir se que ça peut donner au cinéma.

Bonne lecture

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Les vrais amis ne s’embrassent pas sous la neige – Juliette Bonte

Editeur: Harlequin

4eme de couverture:

Ils n’étaient pas censés s’aimer…

Dès leur première rencontre, une complicité naturelle les relie.
Dès leur premier fou rire, leur amitié devient une évidence.
Mais, lorsque le désir s’immisce entre eux, tout se complique…

Depuis qu’elle a menacé Luke avec une fourchette lors de leur première rencontre – épique –, Allison le considère très naturellement comme son meilleur ami. Il aime se moquer de son obsession pour les cookies maison et de sa façon de manger les hot-dogs ; elle adore l’écouter parler d’architecture et le remettre à sa place. Mais plus ils passent du temps ensemble, et plus Allison prend conscience que Luke est bien plus qu’un ami… À ses côtés, elle découvre de nouveaux sentiments, plus intenses, plus troublants. Des sentiments qu’elle ne devrait pas éprouver. Car Luke est le seul homme qu’elle n’a pas le droit d’aimer.

Voilà une de mes lectures pour le Cold winter challenge.

Alors là on est clairement dans la comédie romantique par excellence. Alors oui j’avoue c’est un peu cliché, on sait par avance avec qui le personnage féminin principal va finir, ça reprend les grandes ficelles des comédies romantiques, mais je dois avouer que tout cela ne m’a pas dérangé parce que malgré tout j’ai bien rit. C’est cocasse. Le personnage principal est une gaffe à elle toute seule. Les réparties entre personnages sont tordantes.

Il y a malgré tout aussi une petite dose de féminisme, pour nous rappeler que non les femmes ne sont pas des potiches ou des faire-valoir (certaines scènes m’ont donné envie d’envoyer un bon coup de genou dans l’entre-jambe d’un des personnages). Même si la majeure partie du livre est très légère, il y a des scènes plus sombres qui donne de la profondeur au récit.

C’est une chouette lecture doudou, pas prise de tête. A lire au coin du feu avec un bon chocolat chaud et quelques cookies.

coup de coeur·livres en anglais

Keeper of the lost cities -Shannon messenger

Niveau: intermédiaire inférieur

Editeur: Aladdin

4ème de couverture V.O.:

Twelve-year-old Sophie Foster has a secret. She is a Telepath, and has a unique ability to hear the thoughts of everyone around her – something that she’s never known how to explain, and has made her an outcast, even in her own family.
But everything changes the day she meets Fitz, a mysterious boy who appears out of nowhere and also reads minds. She discovers there’s somewhere she does belong, and staying where she is will put her in grave danger. In the blink of an eye, Sophie is forced to leave behind everything and start a new life in a place that is vastly different from her own.
Sophie has new rules and skills to learn, and not everyona is thrilled with her « homecoming ». There are secrets buried deep in Sophie’s memory, secrets that other people desperately want.
Would even kill for…

4ème de couverture V.F. (éditeur: Pocket Jeunesse):

Vous rêvez de visiter l’Atlantide ou la mythique cité de Shangri-la? Suivez le guide!

Sophie sait qu’elle n’est pas comme tout le monde: depuis toujours, elle entend les pensées des gens autour d’elle. Un matin, un étrange garçon l’aborde et lui apprend qu’elle n’est pas humaine. Elle doit rejoindre l’univers qu’elle a quitté douze ans plus tôt.
De retour parmi les siens, une question l’obsède: pourquoi l’a-t-on cachée si longtemps dans le monde des humains.

 

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Après avoir entendu de nombreuses critiques positives, je me suis attaquée au premier tome de la saga de Shannon Messenger « Keeper of the lost cities » ou « Gardien des cités perdues » pour la version française.

C’est un univers fantasy très bien développé, où l’on rencontre des êtres typiques des récits de fantasy tels que elfes, gobelins, banshees, magiciens et qui fait la part belle aux cités mythologiques telles que l’Atlantide ou Shangi-la.

Même si c’est un livre pour enfants, le récit parle à tous. Il évoque des thèmes tels que la différence, le rejet, l’abandon, la séparation. Il permet donc plusieurs niveaux de lecture.

La plume est belle et fluide. L’autrice en fait un récit pour tous, même si visant un public d’enfants.

Je pourrais la comparer avec J.K. Rowling ou Christelle Dabos pour la qualité de son écriture et la beauté de l’univers fantastique qu’elle a créé.

Ce premier tome met en place les bases pour le développement de la saga sans être pesant et nous donne l’envie d’en savoir plus.

L’autrice vise un public entre 8 et 12 ans ce qui permet à un lecteur débutant en anglais d’avoir accès à des livres fantasy d’un niveau abordable. Si malgré tout, votre niveau n’est pas encore suffisamment bon que pour parcourir avec une certaine aisance le récit; rien ne vous empêche de le lire d’abord en français afin de débroussailler le contexte et de lire ensuite la version anglaise afin d’aborder avec plus de facilité les passages abordant des thèmes magiques ou mythologiques.

J’ai hâte de recevoir les tomes suivants et j’espère que je vous aurai donné envie de commencer cette série.

 

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Six of crows – Leigh Bardugo

Éditeur: Le livre de poche

4ème de couverture:

Les bas-fonds de Ketterdam s’organisent en gangs rivaux. L’homme le plus ambitieux et le plus jeune de la pègre est Kaz Brekker: aussi brillant que mystérieux, aussi charismatique que dangereux, et surtout, connu pour être un voleur hors pair.
Prêt à tout pour de l’argent, il accepte la mission du riche marchand Van Eck: délivrer un savant du palais de Glace, réputé imprenable.
Ce prisonnier est l’inventeur du ‘jurda parem’, une drogue multipliant sans limite les pouvoirs surnaturels de la caste des magiciens: les Grishas.
Une drogue qui, tombée dans les mauvaises mains, risque d’engendrer un chaos irréversible.

six of crows

Pour la découverte du travail de l’autrice Leigh Bardugo, j’ai fait une bonne pioche. En effet, ce récit est un petit bijou de fantasy.

On suit les aventures de Kaz Brekker un jeune homme de la pègre, qui va accepter une mission périlleuse en échange d’une coquette somme d’argent. Afin d’accomplir sa mission il va se faire accompagner par une bande hétéroclite de jeunes gens tous plus amochés par la vie les uns que les autres.
Le récit est loin de se passer au ‘pays de Candy’, une grande partie du récit se déroule dans les bas-fonds de Ketterdam, les protagonistes du récits sont d’ailleurs pour la plus-part des petites frappes.

L’autrice a créé un univers très détaillé, la carte dessinée au début du récit n’est d’ailleurs pas inutile pour suivre l’histoire. Les nations sont nombreuses avec chacune leurs caractéristiques. La psychologie des personnages est très élaborée.
C’est un très bon livre de fantasy, d’un niveau bien supérieur à bon nombre de livres Young adult.

coup de coeur·livres en anglais·Non classé

The woman in White – Wilkie Collins

Niveau: Intermédiaire

Editeur: Alma Books

4ème de couverture en V.O.:

In love with the beautiful heiress Laura Fairlie, the impoverished art teacher Walter Hartright finds his romantic desires thwarted by her previous engagement to Sir Percival Glyde. But all is not as it seems with Sir Percival, as becomes clear when he arrives with his eccentric friend Count Fosco. The mystery and intrigue are further deepened by the ghostly appearances of a woman in white, apparently harbouring a secret that concerns Sir Percival’s past.

A tale of love, madness, deceit and redemption, boasting sublime Gothic settings and pulse-quickening suspense, The woman in white was the first best-selling Victorian sensation novel, sparking off a huge trend in the fiction of the time with its compulsive, fascinating narrative.

4ème de couverture en VF (éditions du masque):

Dans la fournaise de l été, en ce milieu du XIXe siècle, William Hartright, jeune professeur de dessin émérite, s’apprête à quitter Londres pour enseigner l’aquarelle à deux jeunes filles de l’aristocratie, dans le Cumberland.
Il laisse derrière lui la vie trépidante de la ville et ses étranges incidents, comme cette rencontre en pleine nuit avec une jeune femme terrorisée, toute de blanc vêtue, semblant fuir un invisible danger…
Mais la campagne anglaise, malgré ses charmes bucoliques, n’apaise pas le jeune William autant qu il le souhaiterait. La demeure de Limmeridge recèle en effet de bien lourds secrets, et lorsque resurgit la mystérieuse dame en blanc, il est bien difficile d’affirmer qu’il ne s’agit pas d un présage funeste…

the woman in white

Comme diraient les québecois, je suis tombée en amour devant la couverture de ce livre. Je devrais plutôt dire devant toutes les couvertures des livres de la collection Alma Classics. L’éditeur a fait un vrai travail sur le graphisme du livre et même si ça compte peu quand on lit un livre, je dois bien avouer que ça peut guider mon choix lors d’un achat.

Passons les histoires de couvertures et revenons-en à l’histoire en elle-même.
Même si le début du livre nous fait penser à un roman d’amour avec une histoire d’amour contrariée (le personnage principal tombe amoureux de Laura Fairlie a qui il enseigne l’art de la peinture mais celle-ci a été fiancée par son père à Sir Percival) on en vient vite à passer au roman de type policier ou au thriller. Et on se trouve alors face à toute une série de questions qui se posent: Qui est cette femme en blanc que l’on rencontre à un moment du récit et qui est poursuivie? Quel lien a-t-elle avec Sir Percival? Quel secret Sir Percival cache-t-il?

Un roman passionnant de bout en bout. Malgré la taille du livre, 591 pages, et le fait que le récit était en V.O., je n’ai pas ressenti le moins du monde de longueurs, et même si j’ai dû m’accrocher un peu pour le vocabulaire en débutant le livre, je me suis vite sentie à l’aise avec la lecture en anglais pour ce roman.

Ce qui est sur, c’est que je n’hésiterai pas la prochaine fois que je vois un livre de Wilkie Collins à la librairie, cet auteur a su me réconcilier avec les polars.

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Fangirl – rainbow rowell

Editeur: Castelmore

4ème de couverture:

Une passion: l’écriture.

Cath ne vit que pour et par l’écriture. Elle est une fan inconditionnelle de la série à romans à succès Simon Snow… au point de rédiger elle-même les aventures de son héros préféré, en attendant la parution du dernier tome! Elle vit dans une bille qu’elle ne partage qu’avec Wren, sa soeur jumelle, loin de toute vie sociale. Pourtant, c’est désormais en solo qu’elle devra affronter le monde extérieur. Wren vient de lui annoncer l’impensable: cette année, à la fac, elles feront chambre à part. Cath saura-t-elle s’ouvrir aux autres et profiter de sa vie d’étudiante?
Et l’amour, dans tout ça?

fangirl

Comme ce roman young adult revient régulièrement dans des vidéos sur booktube, je me suis dit que je n’allais pas mourir idiote et je me le suis donc procurée pour ma liseuse. Il faut dire que Margaud liseuse l’avait chaudement recommandé et que je suis une spectatrice assidue de ses vidéos.

Pas vraiment de crush pour ce récit qui fut très agréable à lire mais sans plus. Ce roman aborde pourtant des sujets intéressants. On y évoque le passage de l’adolescence à l’âge adulte, les parents démissionnaires, le besoin des jeunes de faire leurs expériences, l’apprentissage de l’indépendance. C’est un récit initiatique, qui va permettre au personnage principal de découvrir qui elle est vraiment et quelles forces elle possède en elle. Une histoire qui rappelle aussi que même si on n’a pas choisi de vivre certaines épreuves, elles peuvent tout de même nous apporter du positif en fin de compte.

Maintenant, à vous de vous faire une idée du livre…

Bonne lecture.

 

 

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Harry potter et l’enfant maudit – J.K.Rowling, John Tiffany et Jack Thorne

Éditeur: Folio junior

4ème de couverture:

La huitième histoire dix-neuf ans plus tard.

Être Harry Potter n’a jamais été facile et ne l’est pas davantage depuis qu’il travaille au coeur des secrets du ministère de la Magie. Marié et père de trois enfants, Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, tandis que son fils Albus affronte le poids d’un héritage familial dont il n’a jamais voulu.

Quand passé et présent s’entremêlent dangereusement, père et fils se retrouvent face à une dure vérité: les ténèbres surviennent parfois des endroits les plus inattendus.

harry potter et l'enfant maudit 1

Cet épisode de la saga Harry Potter se déroule une vingtaine d’année après la scène finale du tome 7. On y retrouve Harry, Ron, Hermione et Ginny mais surtout l’histoire suit le parcours de leurs enfants dont un en particulier: Albus Potter, le Fils d’Harry et de Ginny.

Celui-ci, en voulant faire ses preuves et montrer qu’il n’est pas que le fils de son père, va déclencher une série d’événements imprévus et particulièrement dangereux.

Nos anciens héros vont devoir apprendre à être spectateurs des événements et laisser la jeune génération faire ses preuves.

J’ai trouvé ce récit beaucoup plus sombre que les précédents. Dans les précédents tomes,malgré les épreuves,l’humour était très présent et les liens d’amitiés étaient particulièrement forts. Ici les non-dits sont légions, tout comme les fantômes du passé

Pour les lecteurs de la saga, le changement de style d’écriture peut être perturbant. Ce n’est pas un roman mais une pièce de théâtre, les auteurs n’ont donc pas l’occasion de faire de grandes descriptions,de développer les caractères. L’évolution des personnages aussi est un peu perturbante, il est parfois difficile de faire le lien entre le personnage adulte décrit avec son pendant adolescent que l’on a suivi pendant 7 tomes.

Même si ce ne fut pas une mauvaise lecture, il m’a manqué la plume de J.K.Rowling et son univers magique et joyeux.

coup de coeur

Ne pas déranger – Mily Black

Editeur: Diva romance

4ème de couverture:

Louise a un job de rêve: elle passe son temps à évaluer des hôtels de luxe dans des lieux paradisiaques. Et tout ça en compagnie du très séduisant Francis, son responsable. Mais la timidité de la jeune femme l’empêche d’avouer ses sentiments pour son collègue. Et surtout, ce dernier a une règle immuable: on ne mélange pas travail et plaisir. Alors c’est décidé, elle va demander une mutation et démarrer une vie plus stable, loin de l’irrésistible séducteur!
C’est sans compter sur le destin, qui va profiter du dernier voyage de Louise pour échanger sa valide de pulls sages et pantalons sobres contre des tenues bien plus osées… qui ne laissent pas Francis indifférent. Sous le soleil de la Floride, Louise va tenter de reprendre sa vie en main – avec quelques petits dérapages!

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Coup de cœur pour ce livre de Mily Black.

On est à 100% dans de la chick-lit mais je ne vais pas bouder mon plaisir.

Chouette petit roman pas prise de tête, avec un sujet bien léger et même si la fin est prévisible (c’est une romance quand même…) l’histoire enchaine les rebondissements et les situations cocasses. Entre Louise,le personnage principal, un peu coincée; sa sœur complètement délurée; et son boss playboy sans attaches, on ne risque pas de s’ennuyer.

Vous avez besoin de vous changer les idées, de lire une bonne petite romance pour échapper au quotidien? Ce livre est fait pour vous.

Enjoy, y a pas de mal à se faire du bien.

 

 

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Et l’aube vient après la nuit – Barbara Wood

Editeur: Pocket

4ème de couverture:

Des épreuves qu’elle a traversées dès son plus âge, Samantha a tiré une évidence: elle sera médecin.
Mais, dans les années 1880, le domaine médical est exclusivement réservé aux hommes et, pour pouvoir intégrer une école, la jeune femme doit émigrer aux Etats-Unis.
Insultée, calomniée, elle essuie tous les affronts sans jamais plier et obtient son diplôme. Samantha n’est pourtant pas au bout de ses peines: qui acceptera de l’engager? Un seul homme, Mark Rawlings, osera lui tendre la main.
Désormais, ils seront deux pour livre ce combat.

et l'aube vient après la nuit

C’est le premier roman de Barbara Wood que j’avais l’occasion de lire et même si ce n’est pas un coup de cœur, ce livre m’a laissé une très bonne impression.

Et si je ne devais retenir qu’une seule chose, ce sont les messages, les valeurs délivrés par ce livre.

C’est un livre féministe, qui nous dévoile les combats d’une femme pour avoir les même droits que les hommes. On comprend aussi mieux la résistance des hommes de l’époque à l’émancipation des femmes, la peur de perdre leur statut, la peur de perdre leur ascendant sur les femmes. Il y a d’ailleurs deux belles répliques à ce sujet dans le livre qui m’ont particulièrement interpellées: « En conséquence, ma chère, si tu veux qu’ils te considèrent comme leur égale, tu dois tout faire mieux qu’eux; mais, une fois que tu auras montré ta supériorité, que homme voudras de toi comme épouse? » et « Car ils (en parlant des hommes en général) n’ont la certitude de détenir le droit de vie et de mort que parce que les femmes leur laissent cette illusion, quand la plupart des décisions vitales dépendent en réalité d’elles et d’elles seules ».

 

L’autrice a une écriture fluide et simple, elle évite les longueurs.

Un bon roman, simple, sans fioriture, qui nous fait voyager dans un passé pas si éloigné que ça et qui a le bon goût de nous rappeler les causes du début du combat féministe.

Bonne lecture!