Keeper of the lost cities -Shannon messenger
Niveau: intermédiaire inférieur
Editeur: Aladdin
4ème de couverture V.O.:
Twelve-year-old Sophie Foster has a secret. She is a Telepath, and has a unique ability to hear the thoughts of everyone around her – something that she’s never known how to explain, and has made her an outcast, even in her own family.
But everything changes the day she meets Fitz, a mysterious boy who appears out of nowhere and also reads minds. She discovers there’s somewhere she does belong, and staying where she is will put her in grave danger. In the blink of an eye, Sophie is forced to leave behind everything and start a new life in a place that is vastly different from her own.
Sophie has new rules and skills to learn, and not everyona is thrilled with her « homecoming ». There are secrets buried deep in Sophie’s memory, secrets that other people desperately want.
Would even kill for…
4ème de couverture V.F. (éditeur: Pocket Jeunesse):
Vous rêvez de visiter l’Atlantide ou la mythique cité de Shangri-la? Suivez le guide!
Sophie sait qu’elle n’est pas comme tout le monde: depuis toujours, elle entend les pensées des gens autour d’elle. Un matin, un étrange garçon l’aborde et lui apprend qu’elle n’est pas humaine. Elle doit rejoindre l’univers qu’elle a quitté douze ans plus tôt.
De retour parmi les siens, une question l’obsède: pourquoi l’a-t-on cachée si longtemps dans le monde des humains.
Après avoir entendu de nombreuses critiques positives, je me suis attaquée au premier tome de la saga de Shannon Messenger « Keeper of the lost cities » ou « Gardien des cités perdues » pour la version française.
C’est un univers fantasy très bien développé, où l’on rencontre des êtres typiques des récits de fantasy tels que elfes, gobelins, banshees, magiciens et qui fait la part belle aux cités mythologiques telles que l’Atlantide ou Shangi-la.
Même si c’est un livre pour enfants, le récit parle à tous. Il évoque des thèmes tels que la différence, le rejet, l’abandon, la séparation. Il permet donc plusieurs niveaux de lecture.
La plume est belle et fluide. L’autrice en fait un récit pour tous, même si visant un public d’enfants.
Je pourrais la comparer avec J.K. Rowling ou Christelle Dabos pour la qualité de son écriture et la beauté de l’univers fantastique qu’elle a créé.
Ce premier tome met en place les bases pour le développement de la saga sans être pesant et nous donne l’envie d’en savoir plus.
L’autrice vise un public entre 8 et 12 ans ce qui permet à un lecteur débutant en anglais d’avoir accès à des livres fantasy d’un niveau abordable. Si malgré tout, votre niveau n’est pas encore suffisamment bon que pour parcourir avec une certaine aisance le récit; rien ne vous empêche de le lire d’abord en français afin de débroussailler le contexte et de lire ensuite la version anglaise afin d’aborder avec plus de facilité les passages abordant des thèmes magiques ou mythologiques.
J’ai hâte de recevoir les tomes suivants et j’espère que je vous aurai donné envie de commencer cette série.